POSTED BY 60milliongirls | Mar, 04, 2021 |

Les étudiants de Max Bell et 60 millions de filles

La classe de l’École de politiques publiques Max Bell à l’Université McGill comprend des personnes incroyables et différentes de partout au monde. Cette année, un groupe d’étudiant(e)s de Max Bell a décidé de rédiger un énoncé de politique publique au sujet de 60 millions de filles dans le cadre de leur travail scolaire.

Voici certaines des raisons qui les ont motivés à choisir de se concentrer sur la Fondation 60 millions de filles pour leur travail :

Nayantara : « L’éducation est un droit humain qui devrait être axé sur le développement du plein potentiel humain. Étant donné que maintenant la technologie a remplacé le stylo et le papier, il est devenu encore plus important de l’intégrer dans l’éducation formelle de base. La Fondation 60 millions de filles reconnaît cette réalité. Leur mission m’a portée à travailler sur le projet de 60 millions de filles et de contribuer aux solutions aptes à offrir à tous les enfants, surtout les filles en régions isolées, l’occasion de réaliser leurs rêves et d’atteindre leur plein potentiel. »

YHHS : Une élève montre son nouvel uniforme et ses fournitures scolaires.

Sarah : « J’ai une Maîtrise en administration d’affaires et je suis présentement candidate pour le Programme de Maîtrise en affaires publiques pour 2021 à l’École de politiques publiques Max Bell à l’Université McGill. Mon travail dans le cadre des institutions de société civile et du gouvernement a renforcé mon intérêt à rehausser la qualité de vie pour les communautés financièrement et socialement exclues. Le projet de 60 millions de filles m’offre l’occasion d’offrir un modèle rentable quant à l’utilisation de la technologie afin de faciliter l’accès à l’éducation, surtout pour les filles dans des régions isolées. »

Gulrukh : « Étant donné que je suis une femme d’un pays en voie de développement comme le Pakistan, je connais bien les défis que 60 millions de filles désire surmonter. La mission de 60 millions de filles est de réduire l’écart basé sur le genre quant aux occasions d’éducation dans les pays en voie de développement s’aligne très bien avec mes valeurs intrinsèques. Ce facteur a été le point pivot qui m’a fait prendre la décision de travailler sur le labo politique de 60 millions de filles et j’ai hâte de découvrir comment la technologie novatrice peut servir à assurer l’accès égal à une éducation de qualité pour les filles dans les communautés isolées. »

Mavambo Trust : Le laboratoire d’apprentissage mobile est essentiel pour assurer la réussite des apprenants non scolarisés.

Gina : « 60 millions de filles démontre parfaitement comment le monde avance quant à l’égalité basée sur le genre et la promotion de l’accès à une éducation de qualité dans les régions isolées. J’ai décidé de relever ce défi parce que je crois que les modèles d’intervention novateurs comme le Laboratoire mobile d’apprentissage peut créer un précédent de succès démontrant que les initiatives communautaires peuvent apporter des solutions technologiques afin d’offrir aux enfants, et aux filles avant tout, la chance de connaître un meilleur avenir. En équipe, nous visons à utiliser un modèle adaptable qui, avec la collaboration des gouvernements, pourrait être reproduit dans d’autres régions en voie de développement et ainsi avoir un plus grand impact. »

James : « Ce qui m’a attiré à la Fondation 60 millions de filles était l’emphase placé sur l’éducation des jeunes femmes dont plusieurs deviendront les éducateurs primaires pour les générations suivantes. Le monde doit modifier sa façon de penser en ce qui a trait à l’éducation des filles, ce n’est pas un simple après-coup, mais une priorité.  J’admire 60MF qui œuvre afin d’effectuer ce changement. »

60 millions de filles attend avec impatience le rapport que les étudiants de Max Bell nous livreront cet été.

 

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